Comme annoncé dans l’édition précédente, voici les demandes qui ont été faites aux élus (Marie-Claude Jarrot, Michel Tramoy et Yves Kazmine) et voici les réponses apportées.

 

Des locaux convenables

Ces derniers réclament en tout premier lieu des locaux convenables. Avec un éclairage efficient, ce qui n’est pas le cas actuellement. Des sanitaires ne seraient pas du luxe non plus !

Pour cette question, la mairie va voir. Mais apparemment, il n’y a pas de travaux prévus en ce sens cette année.

Des arbres qui procurent de l’ombre sur le terrain

« Nous avons besoin également d’arbres pour un peu de fraîcheur en plein été. Alors certes, il y en a eu de plantés mais…pas au bon endroit ! Le parking pouvait se passer d’arbres, mais pas les pétanqueurs, surtout lors des concours et championnats » disent-ils.

La encore, les élus vont réfléchir à la question.

Un accès au boulodrome régulier

Pas de double des clés pour les adhérents qui doivent attendre le bon vouloir de ceux qui les possèdent. La présidente Mercier a une clé, mais ne peut pas « être du matin au soir au boulodrome avec la clé en main ».

Des clés seront dupliquées et distribuées à qui de droit.

Le Pass Sanitaire : qui contrôle ?

Concernant le Pass Sanitaire, une bonne partie des joueurs s’insurge : on est d’accord, mais qui contrôle ? Encore une fois, on ne peut demander aux adhérents de jouer les méchants et d’assurer une présence continue à chaque arrivée de personnes qui viennent s’entrainer. « Et puis, dit la présidente, moi, je n’ai pas un téléphone de luxe qui permet l’application pour vérifier les Pass ».

 Soumettant au passage l’idée que la ville pourrait fournir un téléphone pour contrôler les Pass Sanitaires. « Non, non, non… » dit Marie-Claude Jarrot.

Concernant ce contrôle des Pass, un adhérent de la Joyeuse pétanque du Bois du Verne soumet une idée : chaque adhérent devrait aller présenter son Pass sanitaire à la mairie, qui établirait la liste des personnes le possédant. Ainsi, si le pétanqueur n’apparait pas sur la liste affichée dans les locaux, il n’entre pas au boulodrome.

Une idée jugée intéressante par Mme Jarrot qui envisage une permanence en mairie, pour inscrire ceux qui sont en règle avec les mesures sanitaires.

Par ailleurs, le Club demande qu’il y ait de nouveau un concierge pour remplacer le précédent parti en retraite.

Pour l’heure, pas de concierge en remplacement de ce dernier.

Et puis, lors des concours, qui appeler si la situation dégénère quand un participant n’a pas son Pass ?

Mme le Maire conseille d’appeler soit la police municipale, soit le commissariat.

Des vêtements de pluie de qualité et pas des coupe-vent

Les adhérents rappellent qu’il serait urgent de les équiper en vêtements de pluie de qualité. « Nous n’avons que des coupe-vent et on peut vous assurer que cela n’est pas efficace contre une pluie battante ». Et ceux-ci d’évoquer ce concours où il a plu sans discontinuer, trempant les joueurs dépités. « Je précise que le terrain était tellement gaugé, que les boules trempaient dans l’eau et chaque lancer générait des éclaboussures au large ! » dit l’un d’entre eux.

Il semblerait que cette question reste de la responsabilité de l’association.

Une adhérente solutionne le problème, en soumettant l’idée que l’association pourrait prendre en charge une partie de la dépense et que chaque adhérent participe également.

La subvention de la mairie

La présidente rappelle la subvention de… 100 euros attribuée par la mairie. « Nous sommes un club sportif comme les autres et vraiment, nous aimerions que cette subvention soit au moins doublée. Ne serait-ce que pour financer une partie des vêtements de pluie en question » dira-t-elle, toujours en souriant.

Pas de réponse à cette question. A voir à la prochaine subvention.

Sollicités via toutes ces revendications, les deux élus, soutenus par Marie-Claude Jarrot arrivée à cet instant, ont promis qu’ils se pencheraient sur celles-ci.

Un adhérent rétorque : « Vous avez dit « J’ai noté » mais nous, on veut du concret, de l’efficacité et pas que des belles paroles ! ». La messe est dite !