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jeudi 10 mars 2022 à 14:30

Montceau-les-Mines : au lavoir des Chavannes

Le retrait de la péniche a échoué





La péniche à quai dans le bassin du lavoir des Chavannes depuis les journées du patrimoine 20219 est en passe d’être retirée de l’eau pour être confiée aux ferrailleurs.

À la demande de la mairie, il a été demandé au propriétaire, Xavier Juillot, de retirer l’embarcation qui a une voie d’eau, avant qu’elle ne coule.

Mercredi, tout au long de la journée, des travaux de découpe pour alléger la péniche ont été entrepris.

Ce jeudi matin, deux grues, l’une d’une portée de 60 tonnes et l’autre de 30 tonnes n’ont pas réussi à sortir l’embarcation du bassin. En effet, les découpes de la veille ont fragilisé la structure et la péniche se voile et risque de rompre lorsque les grues passent en mode levage.

L’opération est donc différée et reprendra avec des aménagements pour garantir une opération en toute sécurité.

 

J.L Pradines

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 






11 commentaires sur “Montceau-les-Mines : au lavoir des Chavannes”

  1. josiane49 dit :

    ya to cheu ! la cabane su l’chin, nan de diou !!! les péniches pi’in’nes de charban que j’voyôs passi su la Saône quand j’allins à la péche é p’tchiots goujans su les barmes des Teillets !

    certainement une de celles que je voyais passer sur la Saône, chargées de charbon tout propre dans les années 50/60 lorsque j’allais à la pèche aux goujons avec papa !!!! c ‘est de là qu’elles venaient, le chargement au raz de l’eau et dessus il y avait écrit en gros LES HOUILLERES DE BLANZY ! d’autres remontaient, à vide ! souvenirs d’enfance….

    traduction : tout est tombé ! la cabane sur le chien ! non de Dieu !!! les péniches pleines de charbon que je voyais passer sur la Saône quand nous allions à la pêche aux goujons sur le coin du hameau des Taillets !

  2. Daniel Z dit :

    Oh Josiane, celle là, y étot d’ja une aïe tech c’ment qu’y disent maint’nant.
    Mais j’ont vu passer celles qu’avôt que des bourrins pour les tirer.
    Et les canalous qui pionçaient sur la péniche, dans une espèce de cabane de bois.
    Me souviens de deux bistrots qu’ils fréquentaient, un vers le pont levant, l’autre vers Lucy.
    Le même état d’esprit que les Routiers.
    Toute une époque !!!
    Bonne journée

  3. domini75 dit :

    Toujours des larmes sur la passé. Et l’avenir vous y pensez!!!!

  4. anandree7 dit :

    dommage que patois montcellien se perd, j’en comprend la moitié mais j’adore.
    Merci à Josiane et Daniel

  5. Daniel Z dit :

    Où avez vu des larmes , domini75 ?
    Il s’agit seulement de l’évocation d’un temps passé.
    L’avenir, j’y pense, et depuis des décennies.
    J’y pense mais je sais qu’il s’annonce terrible car nos générations ont pillé tout ce qui était accessible, consommé sans vergogne et, ce faisant, privé les générations à venir d’un avenir assuré.
    Mais que faire alors que nous avons cherché à avoir toujours plus, niant la réalité des études qui démontraient que dans un espace fini (La Terre) l’expansion ne pouvait pas être infini et que sans partage, nous allions vers la misère, les pandémies, et les guerres…..

  6. josiane49 dit :

    la Josiane elle a écrit en patois bressan, quoique avec le montcellien ça se ressemble un peu !

  7. Frgsd27 dit :

    Salut les p’tchos,

    Le domini75 y est sûrement un gamin que si te l’y appuyo su l’nez ,y sortiro du lait.o parle d’avenir

    o sait dont pas que si on oublie son histoire on est appelé à la revivre.

    Pour certains passages y voudro ben l’y foute la trouille et pis l’faire chougnier !

  8. mamour@71 dit :

    NON domini 75 pas de larmes du passé mais de bon souvenir

    vous critiquez tout les articles

    Sonia Rolland aussi alors qu’elle parle que de miel ,vous devriez en manger sa vous rendra moins grincheus

  9. domini75 dit :

    Pourquoi, vous faites partie de ceux qui ont refusé les acquis des trente glorieuses. Une fois de plus c’est trop tard pour se lamenter.

  10. domini75 dit :

    Parler Français c’est beaucoup mieux. Le patois aujourd’hui représente le passé, et n’apporte rien pour l’avenir.

  11. Daniel Z dit :

    Où avez vous lu que je me lamentais ?
    Je me situe dans la masse de ceux qui ont voulu toujours plus et j’ai beau regarder autour de moi, il semble bien que l’immense majorité de mes concitoyens sont dans mon cas .