Entre deux cérémonies, deux réunions de la fondation de la mémoire de l’esclavage ou du conseil municipal, Christiane Mathos avait organisé une petite réception à l’occasion des 35 ans de son restaurant « La Douce Heure Antillaise ».

Entourée de clients, de fournisseurs, de membres du CMJ et du conseil municipal, d’amis, elle a rappelé en quelques mots l’histoire et les péripéties de la construction de son établissement.

Elle évoque les projets bâtis avec l’association des Amis des Antilles et les établissements scolaires. …et comment l’ensemble s’articule avec le restaurant…

« Il fallait bien partir de la table, de la convivialité avec les citoyens montcelliens pour aller vers le partage et l’exploration et le montage de projets. »

 

Parmi les invités, Bernard Régnier, adjoint sous le règne du Dr Thomas, en charge des sites miniers, se souvient de la genèse pour la finalisation du projet de restaurant de C. Mathos.

Attaché aux grands parcs, il se demande comment a évolué la qualité de l’eau des lacs : tout le matériel est resté au fond lorsque les mines ont été inondées. Comment la qualité de l’eau a-t-elle évolué ? Il pense qu’il faudrait faire des analyses pour être fixé.

Il évoque également, la pyramide qui selon lui, devrait être repeinte avant d’être attaquée par la rouille…

 

C. Mathos devrait savoir comment et à qui transmettre ces informations…

 

 

J.L Pradines