Au fil des rues de nos communes
Blanzy, la gare.
Toutefois, on peut noter que la maison du garde-barrières, à gauche, n’a plus d’ouvertures côté voie ferrée. Les barrières automatiques ont provoqué la disparation de cet emploi. Sur l’ autre face au bâtiment, qui présentait une tendue vers la rue, il y avait sans doute un commerce.
Ce qui saute aux yeux, c’est l’absence, comme dans la plupart des centres-villes d’aujourd’hui de l’abondante verdure située autrefois entre les maisons et en bourdure de route. La mode du tout-béton est passée par-là.

Quant au clocher, visible au lointain, celui d’aujourd’hui n’est pas l’original. En effet, une terrible tornade l’avait abattu en début du XX° siècle, provocant d’ailleurs le décès d’une paroissienne à l’intérieur de l’église.
Si vous avez des renseignements sur ces deux vues de Blanzy, n’hésitez pas à vous connecter pour nous en dire plus.
7 commentaires sur “Au fil des rues de nos communes”
Fu un tant ou les gens ce promenait dans la rue.j’ai remarqué que sur toutes vos vielles photos beaucoup de personnes défilent.regarder les photos du fidèle ami Jean Pierre,la différence entre avant et maintenant certains murs n’ont pas changé mais la population ci.c’est très dommage
bonjour.
je ne pense pas me tromper mais je crois que la maison du garde – barrières a complètement disparu car elle a été démolie
au moment de la transformation du passage a niveau.
ce lieu s’appelait d’ailleurs la (halte) et il y avait une petite
salle d’attente sur le côté de la maison du garde qui lui même
délivrait les billets
la maison que l’on voit actuellement sur la photo de 2016 se situait juste en dessous.
je suis le fils de la dernière garde-barrière donc la maison la maisonnette du gardien de nuit et la salle d’attente ont été démolies il y a 7 ou 8 ans
Bonjour,
Je confirme les commentaires ci-dessus : la maison du garde-barrière a effectivement été démolie (elle était située en bordure de voie, à l’emplacement de l’actuelle zone herbeuse).
La « tendue » que l’on peut voir côté route est une avancée métallique abritant l’entrée de la salle d’attente ainsi que le guichet de vente des billets.
Il est amusant (et émouvant) sur ces vieilles photos de voir les personnages se masser pour observer le spectacle incongru du photographe au travail. Imaginez l’événement : Un homme (ou une équipe) plante au milieu de la chaussée un trépied supportant un énorme appareil et procède à de longs et minutieux réglages. Nous étions encore loin des « Google-cars » qui photographient tout. 🙂
Concernant le clocher de l’église, il a effectivement été abattu par un ouragan le 6 juin 1916. La flèche s’est effondrée sur la nef, emportant la toiture et écrasant une paroissienne qui s’y était abritée.
Et il y avait un café juste en-dessous dont les propriétaires s’appelaient Colin….
pour alain 56 j ai bien connu sa mere garde barriere femme tres courageuse qui n hesitait pas a aller au devant des trains avec un fumigene lors d un accident auto sur voie ferree et cela a plusieurs reprise et qui elevait seule ses enfants nous etions voisins aux premieres loge…encore chapeau a ta mere
Bonjour .Je connaît très bien cette maison de la gare mes grand parents on habité des années dans cette maison de la gare , mes grand parents s occupé des barrières des trains .pour tout ceux qui sont blanzynoise comme moi .sa fait bizarre de voir cette photo de la gare .en face cette gare il y avait un bars dont les personnes et des blanzynois .voila