Décidément, les ceintures noires pleuvent au Judo Club Blanzynois ! Après Flavie Badet, il y a quelques semaines, c’est au tour d’Amandine Rousset, 16 ans, d’obtenir la ceinture noire.

 

 

Amandine est une jeune lycéenne, étudiant au lycée Claudie Haigneré, en classe de seconde ASSP (Accompagnement soins et services à la personne). Plus tard, Amandine désire se consacrer aux personnes âgées.

 

 

Le judo, la jeune fille s’y est intéressée très jeune, à 3 ans et demi ! En 2005, elle débute donc avec Maitre Zemzemi, puis à la retraite de celui-ci, en 2008, intègre le Judo Club Blanzynois, sous la houlette de Frédéric Badet.

 

 

Et comme le dit sa maman, Stéphanie Rousset, présidente du club « Amandine a passé tous les grades de la ceinture ». Jusqu’à la fameuse ceinture noire qui, comme le dit Fred Badet « n’est pas une fin en soi, mais bel et bien le début d’une progression dans les dans ».

 

 

Et c’est en mars 2017, à Lons-le-Saunier que la nouvelle ceinture noire a passé l’examen des « katas », puis elle s’est attachée à réunir les 100 points indispensables à l’obtention de la ceinture noire.

 

« Cette ceinture représente un travail de plusieurs années, à raison de trois heures d’entrainement par semaine, plus les compétitions du week-end et mes interventions en qualité de commissaire sportif » avoue Amandine.

 

Et les amis dans l’histoire, reste-t-il du temps pour les voir ? La jeune fille sourit : « Mon copain Cyril appartient lui aussi au Judo Club, de même que mon amie Flavie. Le JCB est une grande famille et nous sommes tous très soudés ».

 

Avant la cérémonie de remise de la ceinture, Maitre Zemzemi et son épouse Jocelyne ont offert à Amandine un porte-clés portant comme inscription le code moral du judo : politesse, courage, amitié, contrôle de soi, sincérité, modestie, honneur et respect.

 

 

Et c’est devant les autres judokas que Frédéric Badet a remis de façon solennelle la ceinture noire à Amandine Rousset. Puis, traditionnellement, chaque judoka a « combattu » la nouvelle ceinture noire, avant que celle-ci soit portée dans les douches pour y être « baptisée ». La rançon de la gloire, en quelque sorte…

 

Cette cérémonie a été suivie par le verre de l’amitié.

 

 

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