La salle de l’EVA était comble ce samedi soir, pour le gala annuel du studio de danse de Marina Aupècle. D’entrée, le spectateur est sous le charme de ces gracieuses jeunes filles, jeunes femmes, et de ce jeune garçon, le seul de la troupe, qui ne dépareille pas celle-ci. Apportant une touche masculine, dans ce monde de ballerines…

 

Le gala, décomposé en deux parties, débute, origines de Marina Aupècle oblige (Le Brésil) par la musique de Samba du Brésil, alternant avec les ballets classiques, de toutes les catégories de danseuses, du baby danse classique au Ritmos Danse adulte, Ritmos danse kids etc.

 

Au total, environ 25 danses relativement courtes, mais apportant une telle impression de légèreté et de sérénité que le temps coule, sans que le spectateur ne s’en rende compte.

 

Car il y a tout à admirer : le sourire des ballerines, leur grâce, leurs tutus et les séquences très émouvantes des toutes petites ballerines où l’on sent déjà poindre la passion, mais aussi la discipline que la danse classique impose aux jeunes danseuses.

 

Et le public, pas uniquement composé des parents des danseuses (nous avons remarqué la présence de Florence Dunand, qui avait elle-aussi une école de danse réputée à Montceau et de nombreuses personnes lambda) a fait une ovation aux danseuses de Marina Aupècle qui peut être fière de celles-ci.

 

D’ailleurs, Hervé Mazurek n’a pas été avare de superlatifs concernant ce spectacle. Et il peut en parler, y ayant assisté du début à la fin.

 

Des galas de cette qualité, on en redemande. Et on apprécie en images…