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vendredi 9 février 2024 à 05:41

Blanzy

Convention entre la résidence Jean Rostand et le FJT – résidence le Plessis



 

 

Ce jeudi matin, la commune de Blanzy a officialisé le rapprochement et la convention entre la résidence autonomie Jean Rostand et le FJT – résidence le Plessis qui se manifestera par la mise à disposition de 5 logements : 3 pour long séjour et deux pour passagers en présence du Maire Hervé Mazurek, Isabelle DEMANGE, 1ère adjointe, Jean-Louis Savetier, adjoint en charge des solidarités et de la veille sociale, Directrice : Rachel Matrat directrice de la résidence Rostand, Eric Meny, président du FJT. Christian Grand trésorier du FJT, Jérôme Dubuis, responsable de la résidence le Plessis, J.L Picarat salarié du FJT

Eric Mény expose la situation du FJT.

« Il y a deux ans, le FJT avait de grosses difficultés. (-90 000€). Un an après, avec une nouvelle équipe, on arrive à + 10 000€ avec un taux d’occupation en janvier 2024 de 93 %. On a des demandes et on ne peut plus répondre. Il faut être réactif  et trouver des solutions ».

Il s’agit d’avoir une vision globale, sur le bassin pour remplir le rôle social du FJT. « On a contacté les 4 communes du bassin . La résidence les Tilleuls de Saint-Vallier n’a plus de places disponibles. Sanvignes et Montceau n’ont pas répondu ».

La résidence Jean Rostand de Blanzy, 50 logements sont occupés sur 76. « On peut donc répondre à la demande et accueillir des résidents d’un autre type ».

Jérôme Dubuis précise que pour l’heure le FJT accueille les 16-30 ans. « Mais on peut répondre à d’autres demandes qui ont moins besoin d’accompagnement. C’est un complément d’activité qui va vers le projet d’une cohabitation  intergénérationnelle ».

 

Il faudra donc envisager une modification de l’agrément, de la convention CaF et demander l’autorisation au préfet.

Les instances du FJT souhaite développer un projet de bassin.

Le 22 février, une rencontre avec le sous-préfet et les 4 maires du bassin est programmée.

« Notre vocation est de faire du social et pas de politique ».

 

J.L Pradines

 






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