Rencontre improbable sans Internet  !

 

 

Lundi et mardi, Jean Luc Benedetti et sa compagne Isabelle étaient les hôtes de Pascal Michelot, l’artiste « nacrier » du Puley et de Mont Saint Vincent.

 

Jean Luc Benedetti, français mais ressortissant vénézuélien exerce au Venezuela le métier de « gemmologue » , il est donc dans la fabrication de bijoux à base de pierres précieuses et semi – précieuses.

 

 

 

Il est en outre passionné par la nacre et c’est cette passion qui l’a fait « surfer » sur internet pour un jour tomber sur « notre » Pascal Michelot, nacrier connu sur le web dans le monde entier.

 

Jean Luc, lorsque nous l’avons rencontré, a été très « bavard » :

 

« je voulais rencontrer un nacrier, sur internet et dans le monde ils sont peu nombreux et le Pascal Michelot, c’était le plus près de ma Savoie natale, alors, je l’ai contacté et il a eu la gentillesse de m’accueillir avec ma compagne Isabelle ».

 

 

« J’ai profité d’un congrès de médecine auquel participait ma compagne, en France, pour, comme on dit « faire d’une pierre deux coups » et venir au Puley pour voir travailler Pascal ».

 

 

Vous savez nous dit-il : « au Venezuela nous avons , des deux côtés du pays, 2500 kms de côtes, avec plein de zones de perles et de nacre, alors, moi qui fabrique des bijoux à partir de pierres du pays, je me suis dit que je pourrais en faire à partir de la nacre ».

 

 

« Ici, avec Pascal, j’ai appris les différentes qualités de nacres et la différence qu’il existe entre la nacre et la pierre, quant à la façon de les travailler »

 

 

« Je repars au Venezuela avec des acquis techniques considérables que m’a transmis Pascal et que j’espère bien mettre en pratique. »

 

 

 

Jean Luc nous a promis de nous faire remonter sa réussite dans la fabrication de ses bijoux en nacre dans son pays, dès que celle-ci sera avérée.

 

 

Félicitations à Pascal et Bonne chance à Jean Luc.

 

 

Nous sommes surs que nous en reparlerons !

 

 

Et puis, tout le monde sait que Pascal expose au Mont Saint Vincent, alors, faut y aller !

 

 

Jean Michel LENDEL