Réforme des collectivités locales
Thème d'une conférence-débat de l'UAMC ce vendredi 11 février à Montchanin
Une soirée conférence-débat sur le thème de la réforme des collectivités locales sera organisée par l’UAMC le vendredi 11 février à 18 h 30, à la salle «Le Moderne» à Montchanin, soirée qui verra la participation de Jean-Patrick Courtois, Sénateur-Maire de Mâcon – Rapporteur de la Loi
Les organisateurs nous ont adressé le texte suivant :
« Actuellement près de 52 0000 Conseillers Municipaux et 6 000 Conseillers Généraux et Régionaux constituent le maillage du territoire français et le socle de notre démocratie.
Une nouvelle loi vient d’être votée concernant la Réforme des Collectivités Locales.
Son but ?
Les changements attendus ?
Les conséquences ?
Que deviennent les Conseillers Généraux et Régionaux ?
Quel est le rôle du nouveau Conseiller Territorial ?
…
En tant que citoyen nous devons connaitre les lois, leurs applications et l’impact sur notre vie quotidienne.
Dans ce but, l’U.A.M.C vous propose cette réunion publique, la première sur la Communauté Urbaine.
Ainsi, vous saurez les nouvelles dispositions sur cette réforme importante qui modifiera en profondeur la carte administrative et politique de notre pays et pourrez poser vos questions au Sénateur Jean-Patrick Courtois rapporteur de cette loi qui a proposé des amendements dans le seul souci de trouver le plus large consensus au service de nos collectivités territoriales.
Tout le monde est concerné : élus, citoyens, milieux associatif, social, sportif, culturel …
Une réunion à ne pas manquer. Venez nombreux vous informer.
Beignets et cidre offerts à l’issue de la soirée.
Entrée libre« .
Un commentaire sur “Réforme des collectivités locales”
bonjour
Il serait intéressant de connaitre la vérité. Je lis « » 52 0000 Conseillers Municipaux et 6 000 Conseillers Généraux et Régionaux » » alors qu’avec tous les cumuls politiques connus les personnes sont beaucoup moins nombreuses. Quand on voit, dans le bassin minier, que certains politiques cumulent 4 ou 5 voire 6 mandats il ne peut qu’être question de s’interroger d’abord sur l’état de notre démocratie. Et sur le choix aussi des électeurs.