C’est le président du Conseil général, Rémy Chaintron, qui a inauguré le nouveau restaurant scolaire du collège, restaurant entièrement rénové pour un montant de 2 050 000 € TTC.

 

 

Une inauguration effectuée bien évidemment en présence de la principale : Mme Michèle Gonzalez, son adjoint : M. Salas, du marie de la ville et conseiller général : Jean-Yves Vernochet, de Christian Bonnot, vice-président chargé de l’éducation, M. Lassausse de la direction éducation et jeunesse, M. Michaud de la direction architecture du bâtiment, etc.

 

 

 

 

Une inauguration qui aura permis au président du Conseil général de rappeler qu e l’éducation était une priorité pour le département : « cette année, nous allons investir 20 millions d’euros dans les collèges, cela représente le 1/4 du budget du département, somme à laquelle il faut ajouter 6 millions d’€ par an pour le fonctionnement des établissements du département« … M. Chaintron précisant encore que ce seront 12 millions d’euros qui seront investis chaque année dans les collèges dans l’avenir et de préciser : « investir dans l’éducation c’est investir dans l’avenir !« 

 

Jean-Yves Vernochet, dans son discours, s’est bien évidemment réjoui d’avoir été entendu par le département pour la réfection de ce restaurant scolaire datant de l’année de construction du collège : 1967, qui n’était plus vraiment « au goût du jour » d’un point de vue fonctionnel.

 

 

 

 

 

 

Pour information, précisons encore que le Département a fait le choix de confier aux collèges, grâce au travail de 320 professionnels de la restauration collective dont 71 cuisiniers, la confection des repas des demi-pensionnaires, plutôt que de la déléguer à une entreprise privée. Des professionnels qui confectionnent chaque jour environ 16 230 repas, soit 2,2 millions de repas à l’année. Un choix qui permet de garantir des repas de qualité répondant à un référentiel départemental qui impose l’équilibre alimentaire des repas, l’utilisation de produits de saison et la sensibilisation au goût. Un des objectifs à terme pourrait être de développer la place des productions locales dans la composition des repas et de parvenir à la création d’une centrale d’achat qui permettra de mutualiser l’approvisionnement des collèges et de faire baisser le coût de revient des produits, tout en assurant aux producteurs locaux un débouché.

 

Ce choix du service public de restauration scolaire permet de garantir dans chaque collège public (53 en Saône-et-Loire) un prix de repas unique dont 60% est pris en charge par le département.