C’est une tradition maintenant bien établie que l’accueil, en début d’année, des nouveaux arrivants et des bébés nés l’année précédente. Une réception qui a eu lieu, ce mercredi soir, en présence d’Alain Philibert, entouré de son conseil.

82 naissances en 2011, 170 nouveaux arrivants, 35 mariages, 1 300 élèves scolarisés (représentant un budget important puisque la commune consacre 760 € pour chacun, chaque année), 460 nouveaux électeurs au 31/12/2011, 7 333 inscrits pour 9 300 habitants, 70 commerces, 120 associations, 140 équivalents temps plein travaillant pour la commune, une centaine d’entreprises, mais aussi 530 chômeurs dont 156 non indemnisés et une centaine de personnes inscrites à la Banque Alimentaire, un investissement de 1 million d’euros en 2012, efforts d’investissements en faveur de l’attractivité de la ville qui payent puisqu’elle compte 422 constructions d’habitations en 22 ans dont 24 pour la seule année dernière… sont les chiffres-clés de la présentation qu’a faite le maire à l’assemblée.

Une réception toute amicale mais néanmoins très utile car elle a permis aux conseillers et adjoints de se présenter et préciser les missions dont ils sont en charge.

Paroles de nouveaux arrivants

 

Olivier Doridot est arrivé le 27 octobre dernier. « Après avoir vécu 27 ans à Montceau, puis avoir vécu à Marseille et Annecy enfin, je reviens aux sources… »

Georgette Brohan (à droite) est arrivée le 1er octobre : « J’habitais Digoin mais, au décès de mon mari, j’ai voulu me rapprocher de ma fille qui habite Saint-Vallier… »

Nicolas Boulant est arrivé en novembre : « J‘habitais auparavant à Vitry-en-Charolais et si je suis venu ici c’est pour me rapprocher de mon lieu de travail. Pourquoi Saint-Vallier ? Parce que je veux vivre dans une ville à taille humaine… »

Marianne et Laurent Marmorat et leurs trois enfants sont arrivés en octobre également. « Notre cas est un peu particulier car, après vécu quatre ans à Saint-Vallier et être partis ensuite nous installer à Pouilloux pendant trois ans, on a choisi de revenir ici. C’est une ville où l’on se sent bien… »