Social – Gerbe, c’est fini…
la décision est tombée hier
L’entreprise qui avait été fondée en 1904 a connu bien des difficultés ces dernières années.
Avec la fin du redressement judiciaire prononcé en juin dernier, on pouvait espérer mais…
La liquidation judiciaire a été prononcée hier soir donc par le tribunal de commerce de Chalon.
Que s’est-il passé entre le moment où le propriétaire chinois avait, semble-t-il, renfloué l’entreprise et hier ? Nous ne le savons pas encore du moins pour l’instant. Par contre, ce que l’on peut écrire c’est que M. Robert Wattebled, secrétaire de l’union locale CGT, a proposé aux salariés de les assister : « pour qu’ils fassent valoir tous leurs droits… » nous a-t’il expliqué.
La rencontre pourrait avoir lieu demain samedi… Donc : à suivre…
Annabelle Berthier
5 commentaires sur “Social – Gerbe, c’est fini…”
Vive la France !Les chinois n’ont qu’à rester chez eux !
bonsoir à tous et à toutes c’était à prévoir l’actionnaire chinois n’arrivait déjà pas avant le mois de juin de subvenir à payer et d’un seul coup de baguette magique trouve une somme pour garder l’entreprise que du pipeau noel c’est le 25 décembre et le poisson d’avril est le premier c’est juste de donner de faut espoir au travailleur et encore 33 postes de supprimés donc chômage ayant parlé avec les ouvrières gerbe n’a pas eu de commandes depuis au moins quatre ans mais elles ont fait trois ans de stock en espérant que MONTCEAU NEWS passe mon message Merci et bon courage à ses personnes
Reconnaissons à Konecranes une certaine honneteté intellectuelle; ils n’ont pas été complaisants avec certains candidiats et attendu les élections municipales pour porter leur estocade finale .
A espérer que nul n’est dupe : GERBE n’est plus depuis déjà de très nombreuses années. Seule son ombre et ses quelques fantômes encore au travers des ateliers vides vaquaient à tricoter des bas et collants qui ne se vendront jamais. Tel un taureau dans l’arène cette usine a résisté à tous les picadors incompétents, véreux, vicieux, malhonnêtes, depuis sa vente par celui qui a toujours le vrai et l’unique patron Mr GERBE. Tous les autres assortis d’une bande de branquignols tout aussi incompétents n’ont fait que défaire les mailles du tricot qui avaient été réalisées par son créateur dans un autre siècle. au vu de toute cette histoire non pas romanesque comme elle pourrait l’être s’agissant de lingerie mais plutôt dramatique ou grotesque le résultat de ce jour est le seul qui pouvait arriver.
et pourtant ,notre bon Philibert etait monte en premiere ligne avec Montebourg, un duo de reveurs