Nous avons reçu, ce vendredi matin, un mail « coup de gueule » d’un de nos lecteurs de Saint-Vallier :

« Pour la 2eme fois, 2 de mes oiseaux (kakariki *) ont disparu, toujours les mêmes.

Pour info, à la personne (ou les personnes) qui est venue se servir, terminé : plus de kakariki, oiseaux trop chers pour être piqués, pas la peine de revenir!« 

Comme il nous était impossible de passer, tel quel, ce message, nous avons demandé des précisions ; des précisions que voici :

« Ils étaient dans une cage dans une petite pièce ou ils passent l’hiver avec d’autres oiseaux, mais pour la 2eme fois ce sont les mêmes qui s’envolent (vous me direz normal pour des oiseaux). Mon mari est furieux mais il n’a pas voulu porter plainte.

Et c’est impossible qu’ils se soient envolés de leur cage tout seul… . »

Comme nous ne connaissions pas ces oiseaux, nous sommes allés sur Wikipédia où nous avons trouvé les éléments suivants :

* « Le genre Cyanoramphus a été décrit par Charles Lucien Bonaparte (1803-1857). Il regroupe plusieurs espèces de perroquets communément appelés kakarikis (mot signifiant petit perroquet en māori). Elles se distinguent par un corps arrondi, une queue longue et fine, un plumage de base entièrement vert à l’exception du masque facial. Ces Psittacinae possèdent un bec gris foncé, des pattes grises et des iris orange. Aucun dimorphisme sexuel notable n’est remarqué au sein de ce genre. Toutes ses espèces sont menacées d’extinction dans leurs habitats naturels et certaines ont déjà disparu. Seul le Kakariki à front rouge ou Perruche de Sparrman est très commun dans les élevages1. »