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lundi 19 mars 2012 à 04:59

«Humeur du lundi» (section PS de Saint-Vallier)

C’est presque du DESTOUCHE !



Comme toutes les semaines, retrouvez le billet d’humeur de section P.S. de Saint-Vallier :

 

 


 

« Il y a bien des points communs entre Philippe Néricault DESTOUCHE et Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa.  Le premier dans son œuvre « le Glorieux » traite des rapports privilégiés entre l’ancienne noblesse et les nouvelles richesses. Ces rapports privilégiés et les transactions financières qui en avaient découlées avaient perpétué de multiples plus-values financières inattendues tout en plongeant les plus pauvres dans une misère croissante.  Faut-il aller plus loin dans cette démonstration ? Nous en avons déjà tant parlé tout au long de ce mandat où le monde financier n’aura jamais été aussi proche du pouvoir, où les jeux boursiers n’auront jamais été aussi néfastes pour la population ouvrière  qui aura connu un appauvrissement proportionnel à l’enrichissement des plus argentés. 

 

Certes il serait faux et malhonnête de défendre la thèse de la seule responsabilité du président sortant. Mais nul ne peut contester, de par la situation qui nous frappe quotidiennement, que son action n’aura rien atténué. Bien au contraire.

 

Mais la comparaison avec l’auteur classique ne s’arrête pas là. Car le héros du « Glorieux » a ceci de particulier qu’il est frappé d’une arrogance exacerbée. Devons-nous là encore aller plus loin dans notre démonstration ? Rappelons que celui qui affirmait que le poids de la fonction présidentielle l’avait profondément changé, s’est permis la semaine dernière de traiter un journaliste de « couillon » simplement parce que ce dernier venait de l’interroger sur la manifestation des salariés d’Arcelor Mittal, boutée loin de son local de campagne par des compagnies de CRS aiguisées. « Qu’est-ce que vous voulez que j’aie à foutre de ce que vous me dites ? » proclama-t-il juste avant de vociférer ce juron… ET oui Mr DESTOUCHE comme vous l’écriviez « Je ne vous dirai pas : changez de caractère ; Car on n’en change point, je ne le sais que trop. Chassez le naturel, il revient au galop. ».

 

A méditer…« 






5 commentaires sur “«Humeur du lundi» (section PS de Saint-Vallier)”

  1. lebonsens dit :

    Bonjour,

    Au lieu de nous parler d’ un illustre inconnu, (sauf des « sommités culturelles du PS »), la section du PS de Saint Vallier devrait faire preuve d’un peu de courage en nous parlant « des MAZILLES »

    mais elle préfère certainement faire diversion par « l’exception culturelle du PS »

    La comédie moralisatrice, c’est surtout l’apanage du PS, la preuve avec les MAZILLES.

    Bonne récréation….aux MAZILLES bien sûr !

  2. entrenous@hotmail.fr dit :

    pourquoi les ouvriers sont ils allés chez Sarkozi et pas chez Hollande, regardez lesquel sont les plus riches vous allez voir que c’est les dirigeants socialistes alors baissez d’un ton messieurs les socialistes de Saint Vallier

  3. H. RUBEN dit :

    Pour commenter sur un registre voisin, voici comment, en 1688, Jean de La Bruyère décrit un personnage, peut-être fictif qu’il surnomme CELSE :
    Celse est d’un rang médiocre, mais des grands le souffrent; il n’est pas savant, il a relation avec des savants; il a peu de mérite, mais il connaît des gens qui en ont beaucoup; il n’est pas habile, mais il a une langue qui peut servir de truchement, et des pieds qui peuvent le porter d’un lieu à un autre. C’est un homme né pour les allées et venues, pour écouter des propositions et les rapporter, pour en faire d’office, pour aller plus loin que sa commission et en être désavoué, pour réconcilier des gens qui se querellent à leur première entrevue; pour réussir dans une affaire et en manquer mille, pour se donner toute la gloire de la réussite, et pour détourner sur les autres la haine d’un mauvais succès. Il sait les bruits communs, les historiettes de la ville; il ne fait rien, il dit ou il écoute ce que les autres font, il est nouvelliste; il sait même le secret des familles: il entre dans de plus hauts mystères: il vous dit pourquoi celui-ci est exilé, et pourquoi on rappelle cet autre; il connaît le fond et les causes de la brouillerie des deux frères, et de la rupture des deux ministres. N’a-t-il pas prédit aux premiers les tristes suites de leur mésintelligence? N’a-t-il pas dit de ceux-ci que leur union ne serait pas longue? N’était-il pas présent à de certaines paroles qui furent dites? N’entra-t-il pas dans une espèce de négociation? Le voulut-on croire? fut-il écouté? A qui parlez-vous de ces choses? Qui a eu plus de part que Celse à toutes ces intrigues de cour? Et si cela n’était ainsi, s’il ne l’avait du moins ou rêvé ou imaginé, songerait-il à vous le faire croire? aurait-il l’air important et mystérieux d’un homme revenu d’une ambassade?

  4. montcellien dit :

    Chaque lundi ces chers socialistes de Saint Vallier nous abreuvent de leur culture , mais là nous atteignons les sommets , et de plus quand H.Ruben s’en mêle nous sommes absolument « baba » (expression trop simple pour ces gens là )pourquoi ne pas nous parler des Mazilles , peut être y verriez vous un rapprochement avec Rousseau !!ou bien avec Voltaire et son Candide.Alors soyez modestes et arrêtez de nous les briser menu(oh quelle déchéance dans ces paroles ) avec cette culture confiture qui nous prouve bien , comme dirait Pierre Dac , ( vous connaissez peut être ? ) « quant on a rien à dire on ferais mieux de se taire « .

  5. ogiona dit :

    Les pseudo-intellos du PS de St Vallier sont fâchés avec l’accord du participe passé. Ils ont sans aucun doute bénéficié de la décision du 1er ministre socialiste qui avait dit : « il faut 80% de bacheliers » Alors, bien sûr, quand on fixe des quotas, c’est au détriment de la qualité.