« Nous sommes élus de Saint-Vallier et il n’est pas de jour où nous ne soyons confrontés aux difficultés de plus en plus nombreuses, de plus en plus grandissantes rencontrées par nos concitoyens.

 

 

Durant cette campagne des présidentielles, les menées néfastes des grands groupes financiers, des banques, des grandes entreprises du CAC40 ne sont contestées par personne…même pas par la  droite tant c’est évident !

 

 

Le Président de la République sortant a tenté, en vain, de masquer sa responsabilité et celle des ses amis dans la conduite des affaires du pays plongeant dans des difficultés énormes ceux qui vivent de leur travail. Pour répondre aux demandes de la finance, ce Président et son gouvernement ont dégradé tous  les secteurs de la vie du pays, qu’il s’agisse de l’industrie, de l’emploi, de l’école, de la santé, des services publics, du vivre ensemble.

 

 

Elus que nous sommes dans cette localité, nous sommes confrontés à l’enjeu majeur de répondre au désarroi de nombre de nos concitoyens.

 

 

Alors que l’Etat gèle le montant de ses dotations et donc réduit, de fait, les moyens des communes,  nous  ne voulons pas laisser la ville régresser dans sa proposition de services publics en matière de solidarité, de culture, d’accès à l’école, de réponses aux besoins des parents, d’accompagnement des plus âgés quand la vie devient difficile.

 

 

Mais notre volonté aura des limites.

 

 

Où allons-nous ? De quelle vie est-il question pour le plus grand nombre quand, à sont détriment, une minorité se sert allègrement.  Chacun se le dit, cela ne peut plus continuer !

 

 

Si le Président sortant est rejeté en raison des dégâts commis par cette politique couchée devant la finance et les dictats de la Commission Européenne, de quel changement est-il  question pour notre société ?

 

 

Faut-il reproduire 1981 où après deux ans de mesures allant dans le sens des besoins de la population, l’Etat a abandonné son action devant les exigences de la finance ?  

 

Assurément non !

 

 

Notre pays a des potentialités dont le développement doit être favorisé par d’autres choix que ceux retenus par nos gouvernements.

 

 

La France est la cinquième puissance du Monde. Ses  richesses doivent être mises  au service du Peuple.  Résister aux appétits de la bourse et des banques, partager entre tous les fruits du travail en rendant à l’économie réelle ce que les actionnaires ont accaparé telles sont les propositions de Jean-Luc MELENCHON.

 

 

Pour qu’elles se réalisent, il lui fait un soutien populaire à la hauteur des enjeux. Apportez-lui.

 

 

VOTEZ Jean-Luc MELENCHON ! »