«Humeur du lundi» (section PS de Saint-Vallier)
L'angle du cercle
Comme toutes les semaines, retrouvez le billet d’humeur de section P.S. de Saint-Vallier :
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« L’économie n’est pas une science exacte. Il n’y a rien d’immuable dans ses fondements, ni même de remède incontestable qui puisse s’appliquer une fois la maladie identifiée. Et les interrogations sont d’autant plus importantes que la maladie est grave et que les traitements tentés jusqu’ici par de mauvais médecins n’ont apporté que des symptômes supplémentaires.
Nul ne pourra contester l’importance de la maladie actuelle pour laquelle il faut tout à la fois réduire le déficit public, ne pas tomber dans l’austérité initiatrice de récession, relancer la consommation, ne pas favoriser l’épargne de sécurité et rééquilibrer la balance commerciale.
Bref, on a le sentiment que la solution à nos maux se situe dans l’angle du cercle.
De Pierre MOSCOVICI qui affirme qu’il convient de réduire notre endettement et d’améliorer la compétitivité de nos entreprises, à Michel SAPIN qui annonce une hausse ciblée de la CSG, chaque ministre tente d’apporter une réponse à la problématique globale.
L’intervention d’hier d’Arnaud MONTEBOURG nous semble très importante. Il souhaite effectivement s’opposer à une hausse massive de la CSG, à l’instar de M SAPIN. Il propose en contre-partie de mettre à contribution les banques et le secteur immobilier. Il souhaite également utiliser la fiscalité écologique afin de remplir les caisses de l’Etat. Il suggère enfin de réduire les charges et les cotisations sociales des entreprises qui investissent massivement.
L’ensemble de ces mesures énoncées indiquent combien l’économie et tout particulièrement la problématique productive se trouve au centre des préoccupations gouvernementales. Ces réflexions et mesures sont en tout cas bien loin des critiques de JF COPE qui ne voit dans l’action du gouvernement qu’une «haine de celui qui veut entreprendre». Critique finalement aussi déplacée qu’absurde tant le gouvernement n’a de cesse de trouver le compromis idéal, bien qu’en apparence antinomique, entre soutien des investissements, ré-industrialisation et combat contre la dette publique. Toutes les idées sont bonnes à prendre. Mais Mr COPE en a t-il d’aussi incisives que ces critiques ? Pas certain.
A méditer…«
6 commentaires sur “«Humeur du lundi» (section PS de Saint-Vallier)”
N’était-ce pas François HOLLANDE lui même, qui contestait la « maladie actuelle », dans sa campagne électorale ?
Il n’y avait jamais eu de crise, tout était de la faute de Nicolas SARKOZY !!!
Par contre, dans les mesures proposées par les différents ministres actuels (on n’entend pas beaucoup le 1er d’entres eux), il n’est jamais question de réduire les dépenses de l’état … mais seulement d’augmentations des impôts et de taxes nouvelles;
bjr,
tout a fait d’accord avec vous . il est tres regrettable que jf coppé ai repris le flambeau socialiste de la critique systematique quand on est dans l’opposition . ca donne une mauvaise image de la classe politique française et c’est peu flatteur pour ceux qui les ont elu.
Un discours qui n’a jamais été tenu par ces socialistes du temps de Sarkozy et pourtant les causes sont les mêmes , et les remèdes encore plus durs que du temps d el’ancien président ..mais tous cela passe bien puisque nous avons à faire à des socialistes…
Sondage csa pour l’est républicain !
en cas d’élection dimanche prochain
Fillon l’emporterait avec 61% des voix face a Hollande !
et Sarkosy 54% face a Hollande !
Bonjour,
« Il souhaite » ;
« Il souhaite » ;
« Il souhaite » ;
« Moi PRESIDENT, je ne…. »
Elle est belle la dialectique SOCIALISTE !!!!
Paroles et paroles……..
CG dit :
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8 octobre 2012 à 10 h 33 min
N’était-ce pas François HOLLANDE lui même, qui contestait la « maladie actuelle », dans sa campagne électorale ?
Il n’y avait jamais eu de crise, tout était de la faute de Nicolas SARKOZY !!!
Par contre, dans les mesures proposées par les différents ministres actuels (on n’entend pas beaucoup le 1er d’entres eux), il n’est jamais question de réduire les dépenses de l’état … mais seulement d’augmentations des impôts et de taxes nouvelles;
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