Nos lecteurs ont cedi de génial est qu’ils nous et vous offrent, en plus de leurs photos, toutes les explications voulues pour illustrer leurs photos.

 

Le dernier en date, s’appelle Henri C. qui nous écrit :

 

 

 

Bonjour,

 

 

j’ai eu la surprise de trouver cette arignée au-dessus de mon persil dans mon jardin

 

 

je vous joins les photos et le texte la concernant en espérant que cela pourra intéresser quelqu’un.

 

 

On peut toujours la voir…

 

 

Et d’ajouter :

 

 

 

 

Argiope bruennichi est une espèce d’araignée aranéomorphe de la famille des Araneidae. En français elle est communément appelée Argiope frelon, Argiope rayée, Argiope fasciée, Épeire frelon ou Épeire fasciée ou encore araignée guêpe. L’araignée photographiée est une femelle, elle mesure environ 6 cm de diamètre et construit son nid comme un cocon. (Voir photos)

 

L’épeire fasciée ou Argiope fasciée est l’une des plus grosses araignées tisseuses de piège circulaire d’Europe. Elle est facilement reconnaissable à son abdomen jaune zébré de bandes noires et blanches. Ces couleurs d’avertissement mettent en garde les éventuels prédateurs contre la toxicité de son venin. Elles ne sont d’ailleurs pas sans rappeler celles de la guêpe, d’où l’autre nom de cette araignée : épeire frelon. Le mâle est beaucoup plus discret : une livrée plus terne et surtout une taille beaucoup plus petite (autour de 5mm).

 

 

Cette araignée est commune au pied des buissons et dans les grandes herbes des endroits chauds où elle se tient la tête en bas au centre de sa toile. Cette dernière possède un zigzag dense de soie blanche caractéristique, le stabilimentum, dont le rôle est de consolider le piège. Ainsi renforcé, il est capable de résister aux puissants criquets et sauterelles, voire aux mantes religieuses. L’araignée consommera tout insecte se prenant dans sa toile.

 

 

Après l’accouplement, le mâle est souvent tué puis mangé par la femelle. La femelle pond ses œufs dans un cocon en forme de poire qu’elle dépose au pied de la toile. La femelle mourra dès les premiers froids de l’automne. Les œufs éclosent rapidement mais les jeunes attendront la fin de la saison froide à l’abri du cocon et sortiront en milieu de printemps pour recoloniser le milieu.

 

 

Son venin peut nous causer des soucis s’il s’avère que la personne piquée est allergique à son venin.

 

Sinon une rougeur et quelques grattements.

 

Elle est surtout dangereuse envers ses semblables (comme l’être humain d’ailleurs……) »

 

 

L’occasion, pour nous, de vous rappeler que ces « colonnes » vous sont ouvertes et que vous pouvez et même devez (sic) nous envoyer vos photos, textes et même vidéos à :

 

pascalberthier@montceau-news.com

 

Nous n’aurons pas l’outrecuidance de vous rappeler que…