Christophe Sirugue et sa suppléante Catherine Goepfer, ont décidé qu’il leur appartenait de venir trouver les électeurs, plutôt que de demander aux électeurs de se déplacer dans une salle pour les écouter.

 

 

 

« Il s’agit de mettre en pratique une de mes habitudes en tant que député, la proximité avec les habitants, avec les élus, pour me confronter aux problèmes et travailler avec eux à leur résolution. » explique Christophe Sirugue.

 

 

 

Catherine Goepfer ne dit rien d’autre et appuie sur le dialogue direct avec les gens, les habitants. Elle aussi exalte les vertus de la proximité, de l’écoute et surtout des réponses concrètes à apporter.

 

 

 

Une bonne trentaine d’habitants du quartier passent rapidement au début, certains sans s’attarder, sans vouloir être photographiés. Puis alors que certains restent d’autres arrivent à l’égrenée.

 

 

 

Tous viennent s’entretenir quelques minutes avec Christophe Sirugue, sa suppléante, pour leur confier leurs attentes, leurs problèmes, l’expression profonde de leurs préoccupations personnelles.

 

 

 

D’autre restent plus longtemps et échangent avec les autres présents en trinquant ou en dégustant des cerises apportées par Catherine Decrozant.

 

 

 

Il règne une ambiance conviviale et très bon enfant. Mais en aparté chacun vient confier aux candidats leurs problèmes de logement, de voisinage, de tranquillité publique, de relations inexistantes avec l’OPAC, ou leurs inquiétudes concernant l’économie, l’emploi –le leur ou celui d’un membre de la famille-.

 

 

 

Nous sommes restés presqu’une bonne heure sur place et avons pu dénombrer, outre les militants habituels, le passage de plus de soixante habitants différents dont un du bois du Verne et certains du Plessis.

 

 

 

Gilles Desnoix