Samuel Brandily nous a reçus en conférence de presse afin de discuter quelques éléments de programme. L’occasion de revenir sur quelques mesures emblématiques et de développer ses propositions pour l’emploi.

Première mesure : Remettre la lumière. Pour Samuel Brandily il s’agit à « d’un point essentiel ». En effet, il estime qu’il s’agit « d’une volonté de la population ». Ainsi, il entende remettre en fonctionnement l’éclairage public « dans la foulée de l’élection ».

Deuxième mesure : Création d’une police municipale. Pour le candidat il est question de se doter « d’un outil pédagogique et de prévention ». Elle serait composée de trois agents, dont un chef de police municipal qui serait un ancien gendarme ou policier national. Les deux autres agents pourraient être de mutation d’actuels fonctionnaires de la ville de Saint-Vallier. Samuel Brandily explique qu’il s’agirait d’un moyen de « rationaliser les coûts ». De plus, la voiture de cette nouvelle police pourrait être la voiture de fonction du Maire.

D’autres mesures proposent  -de créer une commission santé : « outil supplémentaire pour la défense de notre hôpital ».

• Transformer l’auberge de la Saule en un centre « culturel et de formation en hôtellerie-restauration »
• Appuyer auprès de la CUCM pour élargir les horaires d’ouverture de la déchetterie ; aménager le château de Galuzot en internat attractif pour les étudiants en médecine ; et agir sur les travaux de voiries (privilégier réfections des trottoirs, des routes…)

Enfin Samuel Brandily énonce la question de l’Emploi : « Il faut se servie des défauts de Saint-Vallier pour en faire une qualité ». Pour le candidat, un des défauts est le manque d’attractivité et donc la tendance qu’ont les jeunes habitants et les jeunes adultes à partir de Saint-Vallier. Ceux qui partent construisent donc leurs vies et leurs réussites en dehors de Saint-Vallier.

Pour Samuel Brandily, même quand les habitants partent « ils restent attachés à la commune ». Son idée serait donc de travailler à la construction d’un « réseau d’acteurs économiques ». La méthode : utiliser les photos de classes. Tenter de retrouver les anciens camarades pour savoir ce qu’ils sont devenus. Faire en sorte qu’ils parlent de Saint-Vallier en cas de volonté d’une entreprise de s’implanter ailleurs, en cas de volonté d’installation d’un professionnel libéral…

« Cela peut paraitre utopique, mais cela ne coûte rien, à part du temps ». Pour Samuel Brandily, le bassin a des atouts non négligeables. Conjuguer ces atouts avec une forme de nostalgie peut entrainer une volonté d’agir pour la commune.

Pour tenter de démontrer la pertinence de ces réseaux, Samuel Brandily nous présente une photo de classe :

« Ici nous avons un journaliste aux Echos et un chef d’entreprise qui gère 400 salariés… « . Présentant une seconde photo il nous parle de « Morganue Huet » qui termine son internat en médecine et qui « ne rêve que de revenir s’installer dans le bassin ». Le marie de Mme Huet étant fonctionnaire, Samuel Brandily estime donc qu’il lui incombera, s’il est élu, de faire en sorte d’accueillir toute la famille et pas seulement la future médecin.

« C’est un projet volontariste qui ne peut apporter que du positif pour la vile, et ne demandera aucun investissement financier ».