« Logique » administrative
"Contre logique du porte-monnaie"...
Chantal, notre lectrice s’insurge…
« Ayant des problèmes de santé : obligatoire de voir des professionnels et examens frottis chez gynécologue ET prélèvement .
Ok puis facture à régler du laboratoire de Nevers, on va à la CPAM à Montceau mais ils ne prennent pas de courrier pour les remboursements. Il faut envoyer le document à Mâcon pour remboursement : donc timbre à Payer pour l’envoi du courrier.
Moralité remboursé de rien avec les prélèvements sur chaque acte et timbre pour être remboursé de 7 euros vive le chômage et la CMU on paye pour tout cela… »
Et vous : qu’en pensez-vous ?
3 commentaires sur “« Logique » administrative”
Chère Madame si les professionnels de santé, laboratoires etc faisaient le tiers payant ! Vous n’auriez pas tous ces soucis. A croire qu’ils ne prennent même pas la carte VITALE ?
Sous de faux prétextes de lourdeurs de gestion il y a encore trop de structures qui pénalisent les patients. Ne pas oublier que cela fait plus de 30 ans que beaucoup de pharmacies ont commencé à faire le tiers payant…et avec des moyens informatiques « préhistoriques ».
Il faut donc clairement impliquer les professionnels et pas forcément la Sécurité Sociale…surtout si ceux-ci ne sont pas conventionnés ou pratiques des dépassements !
La sécurité sociale a effectivement le dos large !
Les professionnels (pas tous ; fort heureusement) refusent le tiers payant « de peur de ne pas être payés » m’a t’on un jour répondu !! Alors qu’ils le sont tous et rapidement, il suffit de consulter son compte Améli, pour le constater. La CPAM fait très bien son travail (même s’il peut y avoir des « couac » comme partout et en tout domaine).
Pour certains pharmaciens ; ils tiennent ce même discours du « peur de ne pas être payés » !!
Situations stupides entre patients de classe moyenne et professionnels peu scrupuleux de se soucier de savoir si leurs clients ont de quoi remplir leur assiette.
moralité : si on est malade, mieux vaut être sans ressources ! autrefois, les pauvres crevaient fautes de soins trop chers pour eux ! aujourd’hui, c’est la classe moyenne qui paie, faute de quoi, on ne se soigne pas ! moi aussi, j’ai abandonné des soins trop couteux… ainsi va la vie !