Avenir de l’Hôtel-dieu du Creusot
La directrice de l'ARS était au rendez vous, ce vendredi !
La directrice de l’ARS était au rendez vous, ce vendredi !
Mercredi, en bloquant la RCEA, les « Hôtel-dieu » du Creusot avaient obtenu l’assurance que, ce vendredi, Mme Monique Cavalier, directrice de l’Agence Régionale de Santé, ne leur ferait pas faux bond une seconde fois. ET…
Comme elle l’avait annoncé, elle était bien présente, dans la grande salle de réunion de l’IFSI du Creusot où étaient rassemblés plusieurs centaines de membres du personnel mais aussi André Billardon, maire du Creusot, Bruno Chaignon, directeur de l’hôpital, etc.
Dans quelques instants, notre compte rendu, nos photos et notre vidéo.
4 commentaires sur “Avenir de l’Hôtel-dieu du Creusot”
Une ambiance apparemment bon enfant au vu de ce cliché..
Qui tient les ficelles des marionnettes hein??
en tout cas la petite fête fait bon train au vu des visages de l’assemblée .
Affaire à suivre
Oui je suis d’accord avec vous mimosa car entre l’autre jour et ce vendredi une sacrée différence, non seulement la directrice de l’ARS a tenu sa promesse de venir à l’assemblée générale mais aussi entre temps il parait que M. Billardon aurait des nouvelles sur l’avancée du travail sur le plan de continuité et qui sait peut être des garanties sur la sauvegarde des emplois…
Et si c’était à la suite du cadeau offert à la directrice de l’ARS (voir vidéo Montceau-news du 3 février à 22 h 44) …
Je partage l’avis de mimosa. Par ailleurs j’ai lu la satisfaction de monsieur Billardon annonçant un excédent d’exploitation de 500.000€ pour 2011 avec une aide de 3,1 millions d’euros. En clair cela veut dire que sans cette aide financière l’Hôtel Dieu aurait été en déficit de 2,6 millions d’euros. Monsieur Jaffre, directeur de cabinet à l’ARS n’a d’ailleurs pas manqué de faire remarquer aux syndicalistes venus à Dijon, le pseudo équilibre de l’Hôtel Dieu . Cette aide n’étant pas reconductible éternellement, on voit mal le contenu du plan de continuité de l’hôtel dieu annoncé par monsieur Billardon et par quel miracle, c’est à dire sans plan social, il pourra être mis en oeuvre. En tout cas nous ne voyons pas comment, en retrouvant son autonomie grâce à ce plan, l’Hôtel Dieu pourrait survivre avec ses 30 millions de dettes antérieures à assumer. Dans cette hypothèse ce serait la liquidation assurée!
La seule solution viable serait que l’Etat assume ses responsabilités et apporte les moyens financiers nécessaires pour satisfaire une offre soins de proximité de qualité. Tout autre projet entrainera un plan social et parallèlement une dégradation de l’offre de soins.
Qui tire les ficelles et de qui se moque-t-on?