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mercredi 7 janvier 2015 à 05:44

C’est arrivé un 7 janvier… (Voir la vidéo)

1900 ; la naissance de Louis Le Vigan, acteur mais aussi...



Merci encore à Wikipédia (l’encyclopédie libre) de nous rappeler que c’est 7 janvier qu’est né un dénommé :

 

LE VIGAN 06 01 15

 

Photo : http://www.volkovitch.com/1101.htm

 

« Robert Le Vigan, nom de scène de Robert-Charles-Alexandre Coquillaud, né à Paris 18e le 7 janvier 1900 et mort à Tandil (Argentine) le 12 octobre 1972, est un acteur français remarqué pour ses seconds rôles dans les films français des années trente et quarante, dont Golgotha, La Bandera, Le Quai des brumes ou Goupi Mains Rouges. Après la Libération, son implication dans la collaboration lui vaut d’être condamné à l’indignité nationale et à dix ans de travaux forcés. Relâché sur parole après trois ans de travail dans un camp, il passe en Espagne puis s’exile en Argentine. Il y meurt dans le dénuement.« 

 

Vois la suite :

 

Biographie prapide

 

Jeunesse

« Né au 42, rue de la Charbonnière, à Paris dans le 18e. Son père était médecin-vétérinaire et la légende raconte qu’il aurait choisi son surnom — Le Vigan — à la suite de l’apprentissage rabâché des départements, notamment du Gard, préfecture Nîmes, sous-préfectures : Alès et Le Vigan. Surnommé « La Vigue » par son ami Louis-Ferdinand Céline, il n’aurait, en fait, jamais mis les pieds dans cette ville.

 

Refusant de prendre la relève de son père, Robert Le Vigan s’intéresse très tôt à l’art dramatique. Il est reçu au concours d’entrée au Conservatoire de Paris. Second prix de comédie en première année, il quitte le Conservatoire, en apprenant qu’il ne pourrait jamais obtenir le premier prix du fait de son engagement militaire. Le music-hall est le seul refuge pour obtenir quelques emplois honorables et subsister, il se retrouve employé dans des petits rôles qui lui permettent de faire ses classes. Il rencontre Marcel Dalio avec qui il poursuit les cachets. Il interprète Molière et Regnard en Belgique.

 

Il effectue son service en tant que fantassin au 167e régiment d’infanterie situé à Wiesbaden en zone française. Libéré, il reprend du service du côté des provinces en effectuant quelques tournées en interprétant Molière et George Bernard Shaw, dans les troupes de Gaston Baty et Louis Jouvet. En 1927, il tourne avec Arletty dans des sketches. »

 

Avant la guerre

« Julien Duvivier le remarque dans une pièce de Jules Romains Donogoo. Il l’engage et lui donne un rôle dans Les Cinq Gentlemen maudits, rôle qui le cantonne dans des emplois équivoques et de méchants. Il tourne ensuite La Bandera, Les Bas-fonds et Le Quai des brumes, films qui le rendent célèbre. Il interprète le rôle du Christ dans Golgotha. Colette dit, après l’avoir vu jouer, que Le Vigan est un acteur « saisissant, immatériel, sans artifice, quasi céleste ». Entre deux contrats il fréquente des cercles où se retrouvent le peintre Gen Paul, l’écrivain Marcel Aymé, le dessinateur Poulbot, et Louis-Ferdinand Céline avec qui il se lie d’amitié. En 1938 sort le film de Christian-Jaque, Les Disparus de Saint-Agil, dans lequel Le Vigan fait une composition. »

 

Pendant la guerre

 

« En 1939 il est mobilisé comme conducteur dans une unité de transmissions. C’est la drôle de guerre et il profite de quelques permissions pour retrouver ses amis comédiens à Nice.

 

Le Vigan fit un détour par Oran pour y rejoindre sa compagne avec laquelle il partage dix ans de relation commune. Sans emploi, il regagne Marseille, ville d’où le comédien Albert Préjean l’avait fait partir pour l’Algérie.

 

L’armistice signé, il remonte à Paris. Il participe sur Radio-Paris à une émission-revue Au rythme du temps dirigée par Georges Oltramare dit « Charles Dieudonné » dans laquelle Le Vigan, avec des comédiens comme Maurice Rémy et des journalistes, joue des saynètes basées sur les actualités2. Cette émission lui donne l’occasion de manifester avec bruit sa fougue antisémite, ce qui lui vaudra par la suite d’être en tête de la liste noire des comités d’épuration…. »

 

 

FILMO LE VIGAN 06 01 15

 

 

Filmographie : http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=2249.html

 

Pour lire l’article :

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Le_Vigan

 

Signé : un admirateur de l’acteur mais pas de son « comportement »…

 

 

 

Robert LE VIGAN lit Louis-Ferdinand CÉLINE

 

 

 

 

 

 

 






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