« Givry en fête » avec les Femmes Solidaires
Au profit de fillettes népalaises et éthiopiennes
Au profit de fillettes népalaises et éthiopiennes
Pour financer des projets de solidarité au profit de fillettes éthiopiennes et népalaises, les Femmes Solidaires organisent une grande fête à Givry, le dimanche 4 septembre 2011. Une manifestation baptisée « Givry en fête » au cours de laquelle vous seront présentés deux grands projets (lire ci-dessous).
Dans ce cadre, une tombola avec vente de tickets à 2 euros l’un vous sera proposée avec, à 18 h30 auprès du podium de la Poste, un lâcher de ballons géant ! Objectif : 1 200 ballons pour démonter que « la solidarité c’est gonflé!!!! »
Projet de solidarité réciproque en Ethiopie
L’idée est de créer un centre d’information et d’accueil pour les femmes Afar où les mutilations génitales, excisions, ne reculent pas et font toujours des ravages. Elle est née à la demande d’un groupement des femmes de cette région qui s’opposent à ces pratiques mutilantes. Les femmes et les fillettes vont à l’encontre de la tradition et sont mises à l’index de leur communauté. Le but des marrainages est d’inverser la tendance. Chaque fillette non excisée aura une marraine pour lui permettre d’être scolarisée, bien habillée, et donc de faire envie aux autres.
Actuellement, une équipe composée de deux représentantes de notre association et d’un médecin obstétricien sont sur place. Dans le cadre de ce projet, l’association Femmes solidaires recherche des fonds pour la construction du centre.
Projet de solidarité au Népal avec l’APEK (association pour les enfants de Katmandou)
Depuis 25 ans, cette association œuvre à Katmandu, capital du Népal, pour accueillir des garçons, les loger, les nourrir et les éduquer dans une atmosphère familiale de qualité. Elle leur assure un premier emploi à l’issue de leur scolarité. Le Népal est un pays de culture masculine dominante où la situation des femmes est très difficile.
Il y a un besoin urgent d’une maison pour les fillettes abandonnées. Les fillettes sont illettrées, exploitées, sans qualification, sans emploi et souffrent souvent de violences familiales, d’abus sexuels, sont l’objet de trafics. En ouvrant cette maison nous pouvons les sauver de la misère et les accueillir dans les mêmes conditions, mais avec un hébergement différent. Cela suppose des ressources nouvelles.