Un départ à la retraite est toujours un grand moment pour celui qui le fait valoir, mais aussi pour ceux qui ont une grande estime pour la retraitée et qui la regrettent déjà .

 

 

Et c’était le cas ce jeudi à la salle des fêtes des Bizots, où Marie-Christiane De Rago, l’animatrice de la garderie périscolaire, a fait valoir ses droits à la retraite à partir du 1er janvier 2018.

 

 

Née en 1955 à Saint-Vallier, Mme De Rago a fait sa scolarité à Saint-Vallier, avant d’obtenir un BEP en sanitaire et social, au lycée Parriat.
Puis, elle a été employée chez un épicier de la Saule, avant de partir travailler dans un hôpital de Côte d’Or durant deux ans, en qualité d’ASH (Agent des services hospitaliers).

 

 

Et puis, en 1975, alors qu’elle a trouvé l’homme de sa vie, elle se marie avec celui que nous connaissons aujourd’hui comme le roi du macaron : Mario De Rago. En 1979, ils s’établissent aux Bizots et auront trois enfants.

 

Ces derniers leur ont donné huit petits-enfants qui font aujourd’hui leur bonheur.

 

Pendant ce temps, en 1979, Marie-Christiane devient assistante maternelle à domicile, jusqu’en 1999.

 

 

Puis en 2002, elle intègre la garderie de l’association du Foyer rural et devient animatrice de la garderie périscolaire, en plus des activités lors des petites vacances. Elle y restera jusqu’à ce jour.

 

Depuis 2015, Mme De Rago était également en charge des NAP (Nouvelles activités périscolaires).

 

La nouvelle retraitée va consacrer son temps libre à ses petits-enfants, mais elle compte bien aussi voyager avec son époux.

 

« Et puis, je vais pouvoir exercer régulièrement mes activités préférées : natation, aquagym et marche ! » dira-t-elle en souriant.

 

Pour son dernier jour avec les enfants, Marie-Christiane leur a fait déguster des succulents churros, fabriqués par Mario, bien évidemment. Les petits, le cœur serré, ont rempli un livre d’or à l’intention de celle qu’ils appréciaient.

 

Mme De Rago a reçu des compositions florales, une smartbox et un bijou en forme de cœur. « Pour lui montrer combien on l’aimait… » dira l’une de ses collègues.

 

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