Quasi un an jour pour jour, le 20 avril 2019, le Fight club avait organiser sa dernière « Fighting Night », quatrième du nom. Il y a quelques temps nous vous avions parler de la 5ème édition prévu ce 25 avril, mais c’était avant l’arrivée du coronavirus. Nous avons joint le président du club pour faire un point avec lui.

 

 

 

Jean-Alexis Dionnet: C’est une bien triste période, en 10 ans de présidence, je n’avais jamais connu un arrêt aussi brutal du club. Depuis le 17 mars, le staff, confinement oblige, ne sait pas vu physiquement. Heureusement, nous ne sommes plus au moyen-age et je peux vous dire que les échanges via les nouvelles technologies sont nombreux.

 

 

JAD: On ne peux pas dire vraiment ça. Lors de l’annonce de la fermeture des écoles, nous avions pris la décision d’arrêter momentanément les cours. Mais c’est un provisoire qui dure, et Laurent Marino, du bureau, a réussi à mettre en place avec Michaël, quelques cours via l’application Zoom, cela ne remplace pas les entrainements en présentiel mais cela permet de garder le contact avec nos adhérents. Laurent renseignera chaque adhérent qui voudrait profiter de ce service. Même après le confinement, nous n’aurons pas les autorisations pour rouvrir immédiatement, nous suivons un peu ce qui se passe dans d’autres pays et nous avons pu voir que l’Italie annonce que les salles de sport seront les dernières à rouvrir.

 

 

JAD: Dès que les conditions de sécurité seront réunies et que nous aurons les autorisations nous rouvrirons, pas avant. Si c’est possible avant fin juin, nous le ferons, sinon nous attendrons septembre. Nous avons déjà pris la décision avec le trésorier que les adhérents de cette saison qui resigneront l’année prochaine se verront offrir un geste commercial. Nous parlons de 20 à 30% de remise, rien n’est encore figé.

 

 

JAD: Effectivement, le 25 avril, nous avions prévu cette soirée avec les trois frères Lacombe réunis une nouvelle fois sur le ring, un titre européen prévu pour Michaël, une grande fête du sport, puis Covid-19 est passé par là.

 

 

JAD: Non pas annulé, reporté!  Et j’insiste sur ce mot car il a son importance. La chance du Fight club, c’est qu’il n’y a pas une personne qui décide mais nous nous concertons. Je voulais maintenir cette soirée au soir de l’annonce du confinement, j’étais sûr que nous pourrions la faire. J’avais tort et les autres membres ont eu raison de m’empêcher de m’entêter, il faut le reconnaitre sinon là nous aurions parler d’annulation. Nous avions reporté au 6 juin, mais il faut garder les pieds sur têrre, nous n’aurions pas eu le droit de la faire le 6 juin.

 

 

JAD: Oui, je peux vous annoncer que la « Fighting Night V » aura bien lieu, ce sera le samedi 14 novembre à Sanvignes. La nouvelle est tombée mardi grâce à un étroit travail avec la municipalité sanvignarde malgré la difficulté de travailler pendant le confinement. Nous les remercions d’ailleurs d’avoir su traiter notre dossier malgré l’actualité. La « Fighting Night » est une impressionnante machine, plusieurs dizaines de prestataires, clubs, etc, pas moins de 3 fédérations différentes. On ne change pas sa date d’un claquement de doigt. Aujourd’hui, c’est fait, nous nous sommes remis au travail. Nous avons déjà la quasi totalité des adversaires qui nous ont répondu positivement, nous allons pouvoir enfin nous remettre au travail.

 

 

JAD: Non, j’avais dis que j’accompagnais Michaël à son titre et que je partirais après. Je maintiens ce que j’ai dis, juste les dates changent. Il serait totalement indécent de laisser le nouveau président gérer une telle organisation sans avoir toutes les ficelles et c’est surement pas les 8 semaines de confinement qui nous aurons permis de travailler dans ce sens.

 

 

JAD: Oui, le Covid-19 nous a ralenti mais pas arrêter. Nous aurons donc notre grande soirée de la boxe et du pied:poing, le 14 novembre à Sanvignes et bien sûr nous reverrons nos adhérents le plus rapidement possible et  je peux ajouter « prenez tous soin de vous ».