Tour de France 2014
Marcel Kittel d'impose et endosse le maillot jaune
Le résumé par Gérard Dessertenne :
« Le départ du 101em Tour de France de Leeds a été donné par la famille princière, avec une Arrivée à Harrogante après 190,5 Kms. Aussitôt , une échappée se forme avec 2 français Nicolas Édet, Benoit Jarrier et le plus ancien Jens Voigt devant une foule sur plusieurs rangs. Le peloton avec les équipes de sprinters qui régularisent l’avance des fuyards, tout en admirant les beaux paysages du Yorkshire, 3 petites côtes pour attribuer le premier maillot à pois de meilleur grimpeur, les 2 français se faisant piéger par l’ancien ( tout les ans on dit que c’est son dernier tour).
Les 3 petits talus sur des routes étroites avec un public digne de l’Alpes D’Huez , ont causé pas mal de ralentissements et plusieurs coureurs ont du batailler pour réintégrer le peloton, cela promet pour la 2ème étape. Jens Voigt ( plus âgé d’un mois que Christopher Horner) après avoir assuré le maillot à pois se relève. Après, rien à signaler jusqu’à proximité de l’arrivée ou les équipiers des sprinters accélèrent pour éviter les attaques. Ils n’aiment pas trop lorsqu’on est pas des leurs qu’on vienne les frotter). Quelques petites chutes à signaler peut-être sans gravité ,souvent à chaud ça va , c’est le lendemain qu’on constate les dégâts. A l’emballage final c’est Marcel Kittel qui l’emporte en puissance sur une arrivée avec peu de pente. M Cavendish chute qu’on espère pas trop grave, A craindre pour la clavicule. Marcel Kittel en jaune, Peter Sagan second et belle 4ème place de Bryan Coquard.
Aujourd’hui, 201 kms de York à Sheffield :
L’étape du jour par Gérard Dessertenne :
« De York à Sheffeld (201 Kms) tout au long du parcours, 9 côtes de 2, 3 et 4ème cat. à 6, 7 et 9 %, pas facile un semblant d’une classique Ardennaise. Il devrait y avoir des attaquants et ce ne sera pas simple de contrôler. Il se pourrait que quelques uns se fassent piéger. Je vois bien un petit groupe se disputer la victoire. Pour les français Chavanel, Vichot, Riblon et Voeckler peuvent être de ceux là. Pour l’anecdote, à York en 1982 lors du tour de Grande Bretagne avec l’équipe de France, j’y ai laissé un petit morceau de jambonneau pour un bris de manivelle,; ce qui m’a contraint à l’abandon. »
A suivre ….demain !
Jean MICHEL lendel